Jbel El Borj, Chefchaouen, Maroc

 Jbel El Borj, Alt 1622, Chefchaouen, Maroc 

Toujours au province de Chefchaouen au Maroc, et précisément dans le parc national talassemtane, Mon aventure a commencé avec le guide de montagne Hamid, de Chefchaouen jusqu'au sommet du Mont Tiouirta , à une altitude de 1405, vers 4h00 du matin,

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 et lorsque nous avons fini de gravir cette montagne dans des conditions d'obscurité et de pluie tombant la plupart du temps, nous avons rencontré du brouillard au sommet, car cela nous a pris beaucoup de temps dans ce lieu , ce qui nous a obligé à retarder. .

 Nous sommes descendus en direction de la route du parc Tissemlal, à un moment donné jusqu'au point de collecte d'eau de Tissemlal, et après cela j'ai vu pour la première fois une pierre étrange appelée (le Rocher massacre ) jusqu'à ce que nous gravissions la partie la plus difficile du chemin jusqu'à atteindre (Bab al-Nijara), et après je me suis dit que peut-être nous avions atteint le sommet, alors le guide m'a surpris. Nous n'en sommes qu'au tiers du chemin...

 Puis j'ai réalisé qu'il fallait rassembler mon énergie et la préserver car le chemin était encore difficile...

 De temps en temps, je trouvais un fruit d'automne appelé (Sassnu ou Boukhanou ). Ce qui est étrange, c'est que ce fruit avait un effet inhabituel sur moi, car j'ai ressenti un léger vertige avant d'approcher le sommet.

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 Le sentier est très distinctif, surtout dans ce climat hivernal... et parmi les arbres divers et denses, comme les genévriers et les pins... ainsi que quelques plantes aromatiques et herbes médicinales...

 La forêt abrite également quelques animaux comme des sangliers et des singes, 

 Quand j'ai atteint le sommet, je n'ai vu que le panneau sur la montagne et ses environs étaient entièrement brumeux...

 Nous avions l'intention de continuer la route jusqu'à la montagne ( jamaa Al obbad) et d'atteindre le mont Lakraa et Talousis près de la communauté Amatrass...

 Cependant, après avoir réfléchi logiquement, nous nous attendions à ce que la pluie ne cesse de tomber abondamment, que les vents à une vitesse de 60 km... et que le brouillard obscurcisse la vision...

Nous avons connu que ces conditions ne feraient que nous fatiguer encore plus et ne pas apprécier de voir les éléments de la forêt près du Mont Lakraa. 

 Finalement, nous avons décidé de reporter à demain l'aventure du Mont Talousis et Lakraa, et de prendre un raccourci vers la ville de Chefchaouen pour éviter la tempête qui venait du Mont Tissouka.

 Malgré toutes ces circonstances, cela reste une journée inoubliable dans ma vie dans la province de Chefchaouen, car toutes ces circonstances se sont transformées en moments de rire et de plaisir et de l'ambiance avec mon guide, Hamid.

GALERIE PHOTOS :